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Interview : Sandro Fanara revient sur le marché de l’immobilier de luxe dans Côte Magazine

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Directeur et associé John Taylor Genève et Megève, Sandro Fanara confie à Côte Magazine son analyse du secteur de l’immobilier de prestige du lac à la montagne.

intw cote sf nov23Comment se porte le marché de l’immobilier de luxe ? Quelle est l’expertise de John Taylor ? Quels sont les avantages à investir en montagne ? Pourquoi faire appel à un courtier ? Retrouvez toutes les réponses à ces questions et plus encore dans l’interview de Sandro Fanara en version PDF.

Vous avez un bien à vendre ? Vous souhaitez en savoir plus sur John Taylor? Contactez-nous.

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CCIG info – La Genève de demain devra se construire grâce au dialogue et à la réflexion

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Dans l’édition de janvier de la CCIG info à Genève, un article évoquant l’aménagement du territoire vu à travers le prisme des entreprises a été publié.

Avec la participation de Yves Cretegny – Directeur Général m3 IMMOBILIER, Michèle Tranda-Pittion – architecte EPFL et fondatrice de Topos Urbanisme et José Gonzalez – CEO de Bricks AG, il examine la façon dont les entreprises peuvent influencer et être impactées par les décisions d’aménagement du territoire à Genève.

Retrouvez l’intégralité de l’article ici.

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Bilan Magazine – le marché de l’immobilier de luxe en ébullition

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CategoryRevue de presse

Le magazine Bilan enquête sur le vent de folie qui souffle sur les biens de prestige, sur l’arc lémanique comme en station.  

Le contexte économique et géopolitique n’entrave pas la hausse des prix qui, depuis la pandémie, atteint de nouveaux pics.
Avec la participation de Sandro FANARA, Directeur et Associé de John Taylor Genève et Megève.

Retrouvez l’intégralité de l’article en ligne ici.

C’est afin de garantir un service haut de gamme propre à l’immobilier de prestige, que m3 IMMOBILIER a développé un partenariat avec John Taylor, référence internationale en la matière.
Découvrez nos agences :

 

 

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Journal de l’immobilier – Interview de Yves Cretegny

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Yves Cretegny, Directeur Général de m3 IMMOBILIER, apporte un regard avisé sur le marché et son actualité, pour Le journal de l’immobilier. 

Retrouvez l’intégralité de l’article en ligne ici.

 

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Côte Magazine – Le complexe Stellar mis en lumière

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CategoryRevue de presse

Dans son dernier numéro, Côte Magazine revient sur Stellar, un des projets « taylor made » façonné avec soin par m3 IMMOBILIER

Au travers de cet article, découvrez tout sur ce bâtiment de 32 000 m2, au cœur de la deuxième plus grande zone d’activités du canton de Genève, développé pour des entreprises avec une activité industrielle et administrative éligible FTI. Lire l’article ici.

 

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BILAN – Marché de l’immobilier en station

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CategoryRevue de presse

sandro fanara 2.0Sandro Fanara a repris l’agence John Taylor à Megève avec deux associés, Abdallah Chatila et Sacha Lévy, peu avant Noël. Focus sur le marché immobilier de la station haut-savoyarde.

L’Associé et Directeur de John Taylor Genève et Megève, évoque avec «Bilan» les perspectives de développement de la station.

Retrouvez l’intégralité de l’article en ligne ici.

 

MARKET – L’immobilier commercial en perspective

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CategoryExpertises

Pour MARKET, Serge Stalder, Directeur de m3 IMMOBILIER COMMERCIAL, passe en revue les différentes tendances du marché immobilier genevois, puisque le risque d’inflation est aujourd’hui encore très faible. L’occasion également de rétablir certaines vérités concernant le réel impact de la crise sanitaire sur le marché de l’immobilier commercial qui, contrairement à certaines idées reçues, a finalement su tenir son rang.

 

serge stalder

QUEL EST, À L’HEURE ACTUELLE, L’ÉTAT DES LIEUX DU MARCHÉ IMMOBILIER ?
En termes de volumes de transactions, il est extrêmement porteur pour la simple et bonne raison que nous avons la chance de bénéficier de taux directeurs de la Banque nationale suisse (BNS) historiquement bas. Cette situation devrait d’ailleurs perdurer – peut-être un an ou deux – dans la mesure où la BNS n’a pas fait état de sa volonté, à court terme, de revoir à la hausse ses taux d’intérêt. De nombreux propriétaires privés installés à Genève veulent profiter de la robustesse de ce marché et réfléchissent très concrètement à vendre tout ou une partie de leur portefeuille immobilier car le marché est actuellement très favorable. Voilà ce qui concerne le marché transactionnel, qui constitue la première activité de notre département. Le second volet de notre activité, à la situation actuelle, est dédié aux locations commerciales qui se scindent, elles-mêmes, en deux parties. Notre travail peut ainsi consister à intervenir au profit d’un propriétaire qui cherche à améliorer le taux d’occupation de ses locaux afin d’en améliorer le rendement, ou alors nous représentons des locataires en quête de nouveaux locaux. Ce sont les deux facettes les plus importantes de la location commerciale.

“NOUS AVONS LA CHANCE DE BÉNÉFICIER DE TAUX DIRECTEURS DE LA BNS HISTORIQUEMENT BAS”

DIRIEZ-VOUS QUE LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER COMMERCIAL A DAVANTAGE SOUFFERT QUE LE MARCHÉ DES PARTICULIERS DURANT LE PIC DE LA PANDÉMIE DE CORONAVIRUS ?
À court terme, je ne le pense pas. Il faut garder à l’esprit que les contrats en vigueur dans le secteur spécifique de l’immobilier commercial sont des contrats de longue durée. Pendant très longtemps, la norme de ce type de contrat était d’ailleurs de dix ans. Désormais, en moyenne, les nouveaux baux se concluent davantage autour de cinq ans, ce qui reste tout de même important. Fort de ce postulat, il est plus difficile de se dédire de ce type de contrats, ce qui garantit une certaine stabilité. Autre facteur de stabilité, à cause de la crise que nous traversons depuis 18 mois, les propriétaires ont privilégié une position attentiste, adoptant une posture de « wait and see ». Ces deux éléments ont eu pour effet de contribuer à une relative stabilité du marché.

“LE RECOURS AU COWORKING VA FORTEMENT S’ACCÉLÉRER”

LE RECOURS MASSIF AU TÉLÉTRAVAIL DURANT LA CRISE AURA-T-IL UNE INFLUENCE SUR LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER COMMERCIAL ?
Nous avions déjà perçu l’émergence du télétravail avant la crise mais il est certain que cette tendance s’est accélérée à une vitesse fulgurante. En quelques mois, les entreprises ont fait des progrès colossaux en la matière, là où en temps normal elles auraient, peut-être, mis deux ou trois ans à s’adapter. Toutefois, travailler à son domicile nécessite de bénéficier d’excellentes conditions techniques, et est plus difficile si vous avez des enfants en bas âge dont vous devez vous occuper en plus de gérer les affaires courantes. Mais il y a de vrais avantages à travailler à la maison. Lorsque certains de vos travaux nécessitent de la concentration, vous n’êtes pas dérangé par vos collègues ou par les incessantes requêtes des uns et des autres. Le télétravail va certainement trouver son rythme de croisière, à raison de un à trois jours par semaine, mais je ne pense pas que cela deviendra la norme. En effet, l’être humain est un animal social qui a besoin de contacts et d’échanger de manière plus transversale avec ses collègues, ses responsables ou encore ses clients. J’ai coutume de dire : « you will never be able to email a handshake ». Littéralement : vous ne pourrez jamais envoyer une poignée de mains par email. Vous n’avez absolument pas le même ressenti ni la même perception quand vous devez mener une transaction difficile via écrans interposés qu’en face-à-face. Le côté émotionnel est difficilement palpable en visioconférence alors que son importance est capitale lorsque vous menez des négociations.

MÊME S’IL NE DEVIENT PAS LA NORME « 5/5 JOURS » MAIS ABOUTIT PLUTÔT À UNE FORME D’ÉQUILIBRE PRÉSENTIEL/DISTANCIEL, LE TÉLÉTRAVAIL VA FORCÉMENT BOULEVERSER LES HABITUDES DE TRAVAIL DE TOUT UN CHACUN, CERTAINS RÉAMÉNAGEMENTS D’ESPACES ÉTANT INÉVITABLES. COMMENT APPRÉHENDER CETTE NOUVELLE DONNE ?
En termes de surfaces, on pourrait effectivement s’imaginer que si les gens travaillent à 40, voire à 50 % en dehors de leur bureau, ils auront, de fait, besoin de moins d’espaces de travail. Mais je ne pense pas que cela sera aussi marqué et radical. Le terme de réaménagement, comme vous l’évoquez, me semble, en effet, plus approprié. L’architecture des espaces de travail va être considérablement remodelée. Nous allons avoir davantage de lieux d’échanges comme des salles de conférences, des cafétérias ou encore de plus petits espaces où les collaborateurs pourront échanger à deux ou à trois en toute discrétion. Alors oui, il est possible, qu’à terme, nous assistions à un léger fléchissement, de l’ordre de 10 à 15 %, de la demande de locaux de bureaux. Mais cela ne sera pas une baisse massive comme nous pouvons l’entendre. Comme évoqué précédemment, les gens auront toujours besoin de contact social. En outre, le recours au coworking va fortement s’accélérer aussi. Nous-mêmes, nous allons développer et renforcer notre concept m3 NOMADE qui va contribuer à cette nouvelle flexibilité des modes de travail. Mais ce n’est pas pour autant que le marché de la location de bureau va s’effondrer. Tous les emplacements situés en centre-ville de Genève vont rester très prisés et convoités par de nombreuses catégories professionnelles comme les avocats ou les fiduciaires. En revanche, les grandes entreprises vont davantage se « décentraliser » vers de nouveaux centres d’affaires en plein développement comme Pont-Rouge, Green City ou encore le quartier de l’Étang, situé à quelques encablures de l’aéroport.

“DEPUIS 18 MOIS, LES PROPRIÉTAIRES ONT PRIVILÉGIÉ UNE POSITION ATTENTISTE, ADOPTANT UNE POSTURE DE « WAIT AND SEE »”

QUELS SONT LES AVANTAGES POUR CES GRANDES ENTREPRISES À S’ÉTABLIR EN MARGE DU CENTRE HISTORIQUE DE GENÈVE ?
Tout d’abord, la structure des bâtiments est complètement différente. Dans les quartiers que je mentionnais dans la question précédente, ces grandes entreprises disposent de constructions neuves, modernes, lumineuses et totalement flexibles en termes d’aménagement intérieur. En outre, ces immeubles sont complètement digitalisés et « digitalisables » ce qui n’est pas vraiment le cas des structures du centre-ville où, d’un bureau à l’autre, le WiFi ne fonctionne pas correctement. Pour moi, un bâtiment recherché repose sur le triptyque « modernité, accessibilité, urbanité, ». Outre la modernité que je viens d’évoquer, l’accessibilité est également essentielle dans la mesure où les gens utilisent de moins en moins leurs voitures et veulent des centres hyper connectés avec des stations de bus et autres gares de trams à proximité. Tout aussi important, l’urbanité. Il doit y avoir de la vie autour des bâtiments de bureau. Les gens ont envie de faire du shopping durant leur pause-déjeuner, ou encore de profiter d’une offre élargie de petits restaurants alentour. Après le travail, ils ont envie de se retrouver et de décompresser entre collègues.

À L’HEURE ACTUELLE, DE QUELLE SURFACE LOCATIVE TOTALE VOTRE ENTITÉ m3 IMMOBILIER COMMERCIAL DISPOSE-T-ELLE ?
Nous avons encore des surfaces disponibles que j’estimerais, peu ou prou à 10 000 mètres carrés sur Pont-Rouge Esplanade. Ceci tient essentiellement au fait qu’un projet hôtelier initialement situé dans le quartier de Lancy Pont-Rouge, n’a pu aboutir, l’exploitant ayant préféré renoncer à cause de la crise. Cela nous a permis de passer de 3000 mètres carrés disponibles, à environ 10 000 mètres carrés. Ce quartier est ultra-connecté et dispose de nombreux avantages puisque vous avez absolument tous types de transports publics à disposition : trams, trains, bus, mais aussi un vaste parking. Je suis persuadé que ce quartier deviendra un véritable centre urbain. Nous commercialisons aussi à Plan-les-Ouates le « Stellar », un immeuble situé en zone FTI (Fondation pour les terrains industriels), ce qui est particulièrement approprié pour des activités telles que les laboratoires, les horlogers ou encore des petits artisans. Ce n’est pas un bâtiment de bureaux au sens strict et toutes ces activités pourront s’y épanouir pleinement.

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GHI – Boom des ventes immobilières

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Alain Baruchel, Directeur m3 VENTES RÉSIDENTIELLES, est revenu dans le GHI, sur le record historique des ventes immobilières atteint en 2021.

En 2021, le canton de Genève a enregistré 4’178 transactions immobilières, soit une augmentation de 12% par rapport à l’année précédente (source PilierPublic.com) ; une tendance qui touche toutes les régions. Faut-il acheter, vendre ? Alain Baruchel décrypte cette actualité.

La bonne gestion de la pandémie qui donne confiance aux investisseurs ainsi que le dynamisme économique du canton et son cadre de vie rendent Genève toujours plus attractive et compétitive. Les “primo-accédants” représentent la majorité des acheteurs malgré des prix hauts, largement compensés par le contexte des taux bas pour emprunter. L’investissement immobilier reste à ce jour une valeur sûre et pérenne.

Retrouvez l’intégralité de l’article en ligne ici ou en téléchargement ici.

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HOUSE OF MISSIONS – La Genève internationale se pare d’un nouveau bâtiment haut de gamme

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Le magazine romand « Dossiers Publics » est revenu dans son édition d’automne 2021 sur le succès de House of Missions, projet architectural conçu pour les missions diplomatiques et les organisations internationales situé dans le quartier des Nations, au Petit-Saconnex.

house of missions philippines

Le complexe, abritant les missions de quatre pays africains, le Botswana, le Ghana, le Kenya et la Namibie, ainsi que celle des Philippines, s’est stratégiquement implanté au cœur du «Triangle d’or», c’est-à-dire à proximité de l’ONU, mais aussi de l’OIT, de l’OMS, du CICR et des plus de quarante grandes organisations internationales. Cet emplacement se caractérise également par son aspect pratique: accès immédiat aux institutions précitées, au centre-ville, à la gare et à l’aéroport; transports publics et autoroute à deux pas (qui seront prochainement facilement atteignables par la nouvelle route des Nations), tout comme l’Intercontinental, où se tiennent de nombreuses grandes réunions. Enfin, l’immeuble prévoit suffisamment de places de parking. Rappelons que la Berne fédérale a voté récemment un budget complémentaire de soutien à la Genève internationale, dont l’importance est vitale pour le canton et la région car elle contribue non seulement à l’économie (un emploi sur dix et plus de trois milliards de francs de dépenses des «internationaux» chaque année), mais aussi et surtout, à la réputation de Genève et de la Suisse.

De nombreux défis à relever
L’opération a été entièrement pilotée par m3 Groupe qui a confié la conception au bureau De Giuli et Portier Architectes et l’exécution des travaux à l’entreprise totale Hestia Constructions. Le chantier avait débuté avec le terrassement à la mi-janvier 2019 et devait relever de nombreux défis. Tout d’abord, le terrain sur lequel s’érige la «House of Missions» présentait initialement une forte pente. La parcelle de 7000 mètres carrés a ainsi nécessité le déblaiement préalable de 45 000 mètres cubes de terre, un volume particulièrement important qui a requis la mise en place de parois clouées durant cette première phase. Aussi, et afin de satisfaire les besoins variés exprimés par les différentes missions, le concept «clé en main» a été proposé, demandant une grande flexibilité. En effet, le secteur des organisations internationales comporte un degré de complexité supplémentaire en raison de son mode de fonctionnement particulier, ce qui a dû être pris en compte en priorité dans la conception et l’agencement des espaces.

Un bâtiment écoresponsable
Résultat: une surface de 5100 m2 conçue en cinq parties, chacune comprenant notamment un accès privé au bâtiment, sauf pour deux d’entre elles qui partagent une entrée commune. À l’intérieur, chacune des cinq missions diplomatiques bénéficie d’espaces alloués, allant de 1200 mètres carrés pour le Kenya à 1700 mètres carrés pour les Philippines. Chaque représentation compte donc un espace administratif, des sanitaires et une ou deux cuisines. Le mode de construction est conforme au label Minergie en matière de performance énergétique: sa conception a donc été pensée pour optimiser sa consommation énergétique et réduire son impact environnemental à chaque étape de sa réalisation, s’inscrivant ainsi dans une démarche durable et écoresponsable. À ceci vient s’ajouter l’innovation GeniLac, une pompe à chaleur permettant de chauffer et rafraîchir le bâtiment grâce à l’eau du lac, couronnant la durabilité du lieu.

Le bâtiment étant encaissé dans le terrain existant, un soin particulier a été apporté à l’intégration architecturale dans le paysage environnant. La façade a été conçue avec la participation de l’architecte Patrick Devanthéry, en s’inspirant de l’Opéra de Lausanne, et comporte des cassettes en aluminium et inox poli miroir variant selon l’ensoleillement, une spécificité esthétique dont la réalisation a nécessité précision et rigueur. La toiture possède une isolation étanche, recouverte d’un substrat afin de créer une surface végétalisée, la dernière touche pour intégrer le bâtiment dans son environnement. Concernant les espaces extérieurs, un paysagiste a été mandaté, notamment afin d’adapter leur implantation en accord avec la Direction générale de l’agriculture et de la nature, dans le but de préserver une future voie verte. Pour l’aménagement du terrain, une zone de forêt a été densifiée et des jardinières sur les terrasses ont été créées grâce à du substrat. Précautions accrues durant la crise sanitaire Dans le contexte particulier de la crise sanitaire, l’entreprise générale a su s’adapter afin de livrer le projet dans les délais tout en respectant le budget, le planning de chaque entreprise a été étudié afin d’éviter qu’il y ait trop de personnel sur le chantier. Il a été également fait appel à un agent qui s’assurait du respect des mesures barrières ainsi qu’à une équipe de nettoyage intervenant deux fois par jour dans les lieux communs.

Retrouvez l’intégralité de l’article ici.